ITIVEMU, vélo et musique autour de Pamphile

C’est vrai qu’on a obtenu tardivement un lieu de concert aux Moutiers, et que devant l'église, c’était joli mais que ce n'était pas l’installation idéale pour attirer du public. Pamphile a cet art de donner beaucoup de lui même si il y a peu de gens. On se souvient de lui aussi pour la relation forte qu’il noue avec ceux qui viennent l'écouter. C'était donc un vrai petit concert avec un joli son, et des rencontres. Merci aux personnes de l’equipe municipale pour leur présence !

De St Brevin, la velodyssee va de plage en plage. On y cohabite prudemment avec les petits et grands marcheurs, les petites en grandes roues. Le groupe choisit de rejoindre le bord de l’eau un peu avant Pornic par la petite route littorale presque totalement dédiée aux déplacements doux. La pause de Clarisse sera la baignade dans une petite crique secrète et le groupe se pose pour un pique nique aux abords de la plage de la Noé veillard, pas du tout secrète, celle-ci. Pornic cité (un peu trop?) balnéaire est bondée.

Une amitié longue a été l’occasion du passage de ITIVEMU à St Brevin. Martine (ici au premier plan ) et Yves ont participé au montage et nous ont mis en contact avec le café du concert. Et ils ont accueilli la troupe, qui dans des lits qui sous la tente dans leur jardin. Ces amitiés sont autant des atolls dans nos navigations à vue. Merci. Grace a vous, Pamphile l’artiste reviendra surement a St Brevin, a l’aperock ou ailleurs.

Apres les moules frites, Karaoké vivant : vraiment de très belles voix inconnues - merci aux anonymes qui ont rempli notre coeur - ou mieux connues de Pamphile, comme ici : le duo Anne et Claire sur « Les brunes ne comptent pas pour des prunes »

A l’aperock café, coeur de St Brevin la deuxième de « cabaretro ». Ils sont dechainés. Merci Catherine et Stephane !

Avant de s’appeler Velodyssee et de filer vers le sud, C’est à Mindin que la piste vers l’ouest s’arrête, comme avalée par le serpent d’Ocean qui ne se lasse pas de jouer avec les marées. C’est là que l’équipe itivemu se pose, à la terrasse du Belvedere, causant et riant, l’œil levé vers le pont géant. Ce pont de St Nazaire un peu symbolique car l’autorisation de le franchir a velo fut obtenue de haute lutte, raconte-t-on.

Tôt levé, tôt plié, et petit déjeuner causant pris en chargeant les téléphone dans l’abri astucieux prévu pour cela… Tours de roue dans les odeurs naissantes et puis… Canal de la Martinière, on t’a aimé comme on te quitte, tout doucement sans penser à demain… (hé hé, c’est détourné de quelle chanson. ?). Paimboeuf mérite une pause cycliste. D’abord au « jardin étoilé. « Cette œuvre du parcours estuaire créée par le japonais qui a Maruyama a été comme un espace à vivre » Francoise rappelle un peu d’histoire, Clarisse jette un oeil d’architecte du patrimoine, Pierrot raconte que le grand pere de Pamphile, enfant juif et parisien fut placé ici en sécurité au temps des barbaries de la guerre. Les autres ont leur souvenir de passage. Et cette photo qui raconte ressemblance et dissemblance dans les aventures communes des artistes

C’est le nom de ce camping tout simple sur les bords de l’eau qui serait fait tout spécialement pour le randonneurs a velo en quête d’une halte sans chichi. La chaleur exceptionnelle du dimanche invitait à la belle étoile. La c’est Bertrand qui dort encore dans les chuchotements des pliages.

Dans le jardin, une première de « caba-rétro », création de Pamphile et Bertrand Pineau. Pourquoi les année 50, qu’est ce qui s’y passe et qu’est ce qui s’y chante? Eh bien qu’on y vienne ! Ce lundi 19h à l’aperock café, à St Brevin qu’on se le dise !

Devant « Le Quai Vert », au Migron, trois petites notes de musiques donnent le ton du premier concert qui aura lieu un peu plus tard. A peine remontés d’un pédalo ou d’une planche, voilà autour de Pamphile, sue l’on reprend des airs en choeur

Au débouché du joli parcours de la Loire à vélo sinueux et bosselé depuis La Montagne, Le canal de la Martinière est mou sous les 38 degrés ce jour là, mou comme le bateau qui l’ouvre au bord de l’écluse, et c’est son charme bucolique. On s’y pose pour un copieux pique nique acheminé par Claire et Anne, dans la voiture qui transporte les instruments. Et puis on ondule sans hâte sur sa rive.

Se désaltérer en terrasse, humer les parfums du marché, traverser dans la foule bigarrée qui fréquente ce magnifique esquif. A pieds ou à vélo, les gens qui vont ou reviennent des emplettes, ou les maillots ostensibles qui annoncent la virée sportive du dimanche, ou les cyclotouristes en grappes ou avec eux memes, vers la mer ou… vers Nantes par la rive sud, de toutes langues et de tous âges.

En quittant Nantes sous ce grand arche

https://maps.app.goo.gl/wUfnU8Vpwq7bkMf77?g_st=ic 

Le chemin est souvent bien connu des nantais qui vont à la mer a vélo en suivant « La Loire à vélo ». parmi les 3 possibilités on pourrait choisir celle qui part rive droite, et qui franchit le fleuve à Indre. C’est jour de marché, ce sera gai. Apres, ca grimpe un peu sur La Montagne, comme son nom l’indique, avant de rejoindre le canal de la martinière où on se retrouvera pour un pique nique. L'étape de l'après midi nous emmènera au Migron où aura lieu le premier concert, comme annoncé sur le suite. Plus de détails a venir.